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Striptease dans un avion de ligne français – Vidéos – Nudité

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Des vidéos circulent sur internet et sont de plus en plus reprises par les médias ces derniers jours : une hotesse de l’air réalise un strip tease complet dans le cockpit d’un avion de ligne en vol. Un des membres d’équipage filme ces vidéos qui n’étaient probablement pas prévues pour aller sur internet.
 

 

 

 

 

 

Analyse
Les défaillances de la sécurité aérienne font tout le temps remonter des images porteuses de force et d’émotion. Une fois qu’on a visionné ces vidéos, il faut éviter de tomber dans deux pièges qui se présentent tout naturellement :

1 – moraliser le débat : il ne faut pas laisser parler le moralisateur qu’il y a en chacun de nous. Les accidents aériens sont liés à des phénomènes techniques, l’aspect moral n’est pas pertinent.

2 – la généralisation : “on sait pourquoi les avions s’écrasent maintenant”. Il n’est pas courant que les hotesses fassent des stripteases dans le cockpit et jamais un avion ne s’est écrasé pour un tel motif. Il s’agit d’un débordement unique.

Une fois que ces deux aspects écartés, il reste un simple cas de distraction d’équipage. Dans de très nombreux vols, les pilotes passent par des phases où leur attention est diminuée pendant des périodes plus ou moins longues. La fatigue, le manque de sommeil, les décalage horraires, la monotonie de certains segments de vol, très exceptionnellement les stripteases, sont les causes de ces phases de faible attention.

Le vol se passe sans passagers. Ceci peut créer un climat de relachement qui n’est pas favorable à la bonne gestion des opérations tant au niveau humain que technique.

Finallement, même si cet incident reste assez graphique et particulièrement documenté, en aucun cas il ne peut prétendre à entrer dans le top ten des comportements accidentogènes.

1 COMMENT

  1. Un peu d’histoire
    L’origine du « Club des 30 000 » remonterait en réalité au début du xxe siècle, dans des circonstances particulièrement rocambolesques, qui figurent dans les statuts de l’association.
    Lawrence Sperry, un pilote casse-cou, constructeur de planeurs, n’a cure des usages. Né à Chicago en 1892, fils d’un ingénieur aéronautique, et lui-même aviateur fortuné, il est à ses heures perdues collectionneur de femmes. Il décide de se diversifier en enseignant le pilotage à la bonne société new-yorkaise. Sa victime du jour est Waldo Polk, une jolie veuve. Décollage depuis un lac à bord d’un hydravion à coque Curtis. Une fois en l’air, Sperry enclenche un système qu’il a lui-même récemment mis au point : le pilote automatique, un miracle de la technologie qui permet d’avoir les mains libres. L’impudent peut ainsi se jeter sur sa maîtresse. Mais, au cours de leurs ébats mouvementés, il donne malencontreusement un coup dans une manette, et l’avion chute du septième ciel. Malgré les tentatives de Sperry pour reprendre la main, l’appareil finit par s’échouer tant bien que mal dans un lac de South Bay. L’avion est détruit, mais le couple en vie : il sera secouru par des chasseurs de canards, qui trouvent les deux amants nus dans le cockpit ! Amine mecifi

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